21 Juin : NETTOYAGE
DES PLAGES DE LA MALCONCHE
RV à Midi au port
du Douhet pour un pique-nique suivi du nettoyage des plages.
La mairie de
Saint-Georges d'Oléron fournit les sacs plastiques et se charge de leur enlèvement.
Venez avec vos
gants.
Selon
l’affluence, nous déterminerons le périmètre de notre intervention.
Venez avec vos
amis, faites connaître cet appel.
15 juillet 2015 : ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
DE L’APLIMAP
Cette AG doit
procéder au renouvellement de notre
Conseil d’Administration dont les 15 membres actuels ont élus pour 3 ans en
2012. Pour rappel, c’est le CA nouvellement élu qui nomme les membres du bureau
choisis en son sein. (Les statuts sont consultables sur le blog APLIMAP).
SUIVI JUDICIAIRE du dossier des filières
- Le 7 mai, Mme Corinne Lepage a déposé un recours au
fond contre l’arrêté préfectoral du 4 mars 2015 autorisant le champ de
filières de la Malconche au nom de 5 requérants : APLIMAP, SPPIO, UNAN-CM, mairies de la Brée
et de Saint-Denis. La mairie de Saint-Georges d’Oléron doit effectuer la même
démarche avec son conseil, Maître Drouineau de Poitiers.
- Le 28
mai a eu lieu une audience du TA de Poitiers, suite à notre demande d’exécution du jugement du 16 janvier 2014. Le
jugement vient de nous être communiqué et notre requête a été rejetée, le TA
estimant que son jugement a été pleinement exécuté par la préfète.
- prochaine étape: demande de référé de
suspension des travaux. Celle-ci sera déposée dés que le CRC aura indiqué,
comme il en a l’obligation légale, la date de début des travaux d’implantation
de la première tranche de filières.
ACTUALITÉ CONCHYLICOLE
Un débat est en
cours sur l’étiquetage des huîtres triploïdes. Vous pouvez consulter les sites suivants :
ACTUALITÉ POLITIQUE ET MÉDIATIQUE
Le silence des
autorités de l’Etat est plus assourdissant que jamais (je passe sur les
épisodes précédents) :
-
Le
18 mars 2015, le ministère de l’Ecologie recevait notre dossier à la suite de
la visite de Mme Ségolène Royal à Saint-Denis-d’Oléron. Aux dernières
nouvelles, le dossier avait été transmis au Secrétariat à la Mer.
-
le
14 avril j’ai envoyé une lettre directe au Président de la République à partir
du site internet dédié. La réponse envoyée le 22 mai indiquait que ma lettre
avait été transmise à Mme Ségolène Royal…
En réalité, les
autorités ne sont pas restées inactives et les 15 jeunes zadistes squattant le
Maison Heureuse ont été expulsés le 12 mai un mois après leur installation.
L’après-zad a révélé des méthodes d’intimidation inquiétantes tant à l’endroit
des jeunes zadistes qu’à l’égard de l’ostréiculteur qui les avait autorisés à
s’installer temporairement sur un terrain lui appartenant. Ces incidents
outrepassent largement les poursuites judiciaires décidées par le TA de
Poitiers contre les participants à la Zad.
Pour des
informations sur la Zad et l’après-zad, sur les analyses des différents
protagonistes, vous pouvez consulter le site du journal REPORTERRE aini que le
site dédié à la Zad de la Malconche.
Reporterre : www.reporterre.net , www.zadoleron.com
Alors que divers
colloques et rencontres nationales ont réuni ce printemps des élus et des
responsables associatifs pour débattre de la démocratie participative en
matière environnementale, l’Etat met en place simultanément un ensemble de
mesures destinées à prévenir et juguler rapidement les conflits
environnementaux et à permettre la réalisation rapide de projets économiques
supposés indispensables (infrastructures ou autres).
Double langage ?
Sans aucun doute.
Nul décideur sérieux, élu ou entrepreneur, ne souhaite à l’évidence soumettre
ses projets à l’examen des citoyens et l’enquête publique n’est que le masque
caricatural d’une consultation démocratique. Selon la logique dominante, il faut investir et produire, toujours
plus, et décider entre responsables « éclairés ». Il faut
« éradiquer » les Zad au nom du trouble à l’ordre public qui leur est
imputé alors qu’elles sont d’abord la conséquence et le symptôme du déni de
démocratie infligé aux citoyens par des représentants de l’Etat, des dirigeants
politiques et entrepreneuriaux abusant de leur position de pouvoir.
Pour autant, nous ne plions pas. Nous
allons continuer à faire entendre notre voix et réfléchir à nos prochaines
mobilisations.
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